Moments de somnolence et de sommeil de durée relativement courte effectuée de manière générale durant la journée, les siestes sont des activités fortement bénéfiques pour l’organisme. Quels sont les différents types de sieste qui existent ? Quels sont les bienfaits de cette activité sur l’organisme ?
Les différents types de sieste
Selon les médecins et autres experts puis spécialistes du monde du sommeil, on distingue trois principaux types de sieste. Chacune de ces catégories de sieste comporte ses caractéristiques et particularités propres. Les différents types de sieste sont :
- Les siestes flash;
- Les siestes courtes;
- les longues siestes.
Les siestes flash ou micro siestes durent environs une dizaine de minutes. Ils sont des sommeils légers. Les siestes courtes durent entre un quart d’heure et une demi-heure. Elles sont généralement plus longues que les siestes flash mais elles ne sont pas profondes. Les longues siestes durent entre une demi-heure et trois heures. Ce sont des siestes profondes. Tout sommeil dont la durée dépasse trois heures n’est plus considérée comme une sieste par les experts du monde du sommeil.
Les principaux bienfaits de la sieste
Les bienfaits de la sieste sur l’organisme sont nombreux, divers et variés. De manière générale, on, peut citer :
- Les bienfaits pour le cerveau;
- Les bienfaits pour la santé et le bien-être .
De nombreuses études scientifiques ont montré que faire régulièrement des siestes avait des effets positifs certains sur les facultés cognitives de ses adeptes et pratiquants. En effet, les personnes qui aiment la sieste ont avoué qu’ils arrivaient à mieux apprendre et assimiler leurs connaissances après avoir dormi. De même les siestes aideraient à mieux réfléchir et résoudre des problèmes nécessitant des efforts du cerveau.
Par ailleurs, faire des siestes permet également de se sentir de bonne humeur. Aussi, cette activité est-elle utile pour renforcer le système immunitaire. Elle aide également à réduire le stress, réguler la tension artérielle et par ricochet réduire les risques d’accident de maladies cardio-vasculaires.